source Le monde
……Il y a Emmanuel Laureau et sa ferme de la Martinière, construite au XIXe siècle et exploitée par sa famille depuis plusieurs générations, qui pourrait perdre près d’un tiers de ses 220 hectares – ce qui menacerait, selon l’agriculteur, la viabilité et l’avenir de son exploitation. Il y a Emmanuel Vandame, dont un champ doit être traversé par le futur métro aérien et dont une partie des terres est menacée par le transfert d’un golf. D’après Dorian Spaak, de l’association Terre et Cité, il y a aussi la famille Trubuil, et les terres expérimentales de l’INRA (Institut national de la recherche agronomique).
Pour Antoine du Souich, directeur développement durable à l’EPPS, tout va rentrer dans l’ordre, notamment en redistribuant les terres des agriculteurs qui partent à la retraite sans repreneurs. « Les voyants sont au vert », assure-t-il. Dans le cas d’Elodie Vilain, en cas d’échec……
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